Biographies |
Biographies des auteurs
Auteurs étrangers
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KADER ABDOLAH (Iran/Pays-Bas)
Né en 1954, Kader Abdolah étudie la physique à l’université de Téhéran. Après avoir publié deux recueils de contes sous le nom de deux membres de l’opposition exécutés, Kader et Abdolah, il doit fuir son pays en 1985 et se réfugie aux Pays-Bas. Il y apprend le néerlandais en autodidacte et décide d’écrire dans cette langue dès 1993 avec un premier recueil de nouvelles, Les Aigles, qui reçoit le prix néerlandais Gouden-Ezelsoor. Il est aujourd’hui chroniqueur au journal Volkskrant, et continue de produire des œuvres littéraires, notamment Cunéiforme (2000) et La Maison de la mosquée (2008). |
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HODA BARAKAT (Liban)
Hoda Barakat est née à Beyrouth en 1952 et vit à Paris depuis 1989. Elle a publié un recueil de nouvelles et cinq romans, La Pierre du rire (prix Al-Nâqid), Les Illuminés, Le Laboureur des eaux, Mon maître mon amour et Le Royaume de cette terre, traduits en français chez Actes Sud, puis dans d'autres langues européennes. Considérée comme l'une des grands écrivains de langue arabe d'aujourd'hui, elle a obtenu de nombreux prix littéraires, dont le prestigieux prix Naguib Mahfouz en 2000 pour l’ensemble de son œuvre. |
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CHARLES BONN (France)
Charles Bonn est né en 1942 en Alsace. Ancien directeur du Centre d’études littéraires francophones et comparées à l’Université Paris 13, et co-directeur des revues Itinéraires et contacts de cultures et Études littéraires maghrébines. Ses principales publications sont La Littérature algérienne de langue française et ses lectures (Naaman, 1974), Le Roman algérien de langue française (L’Harmattan, 1985), « Nedjma », de Kateb Yacine (PUF, 1990), Anthologie de la littérature algérienne (Livre de poche, 1990). Il est également co-directeur de plusieurs publications collectives, dont la collection « Littératures francophones » (Hatier/AUPELF, 1997 et 1999) et dirige de nombreuses thèses sur les littératures du Maghreb et de l’émigration. |
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ANNA MOÏ (Vietnam)
Née à Saïgon en 1955, Anna Moï est écrivain, chanteuse et styliste. Après avoir longtemps vécu à Paris et à Tokyo, elle retourne vivre au Vietnam en 1993. Elle a publié son premier recueil de nouvelles, L'Echo des rizières, en 2001. Son premier roman, Riz noir, paru en 2004, évoque les tragédies de la guerre du Vietnam. Polyglotte et se revendiquant comme partout étrangère, Anna Moï a choisi le français comme langue d’expression et la liberté pour horizon. |
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SAOUD AL SANOUSSI (Koweït)
Saoud al-Sanoussi, jeune écrivain koweitien de 32 ans, a reçu cette année à Abou Dhabi le Booker Prize arabe. Son roman, Tronc de bambou, traite de la condition des travailleurs immigrés dans les pays du Golfe persique. |
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ELSA OSORIO (Argentine)
Elsa Osorio est née à Buenos Aires, Argentine, où elle réside actuellement. Elle a publié Ritos privados (Losada), Reina Mugre (Punto Sur), Beatriz Guido, Mentir la verdad, Cómo tenerlo todo (Planeta), Las malas lenguas (GEL), A veinte años, Luz (Alba,Mondadori / Planeta), Luz ou le temps sauvage (Métailié), Cielo de Tango( Planeta. Siruela), Tango (Métailié). Son œuvre a obtenu, entre autres, le Prix National de Littérature, Prix au Meilleur Scénario de Comédie, Prix Amnesty International et elle a été finaliste du prix Femina. |
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BAROUK SALAME (France)
Barouk Salamé est le pseudonyme d’un auteur français, né en Algérie, dont le parcours mêle philosophie, science de la communication, voyages, écriture romanesque… Cet écrivain érudit, mêle de façon intelligente et brillante histoire des religions, monde moderne et suspense policier. Son premier roman noir Le Testament Syriaque, publié en 2009 dans la collection Rivages Thriller, est avant tout un plaidoyer contre l’incompréhension et l’ignorance. Ses deux derniers romans sont Arabian Thriller et Une guerre de génies, de héros et de lâches, roman qui raconte la guerre d’Algérie, parus chez le même éditeur. |
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KAMAL BEN HAMEDA (Libye)
Kamal Ben Hameda est né en 1954 à Tripoli. Dans les années 1970, il quitte la Libye dont il dénonce l’oppression insidieuse et la « sécheresse intellectuelle », part en France poursuivre ses études puis s’établit aux Pays-Bas où il vit aujourd’hui. Il est l’auteur de nombreux recueils de poésie et d’un récit autobiographique en quête de son enfance tripolitaine, La compagnie des Tripolitaines, paru en 2011 chez Elyzad, maison d’édition tunisienne. |
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HABIB SELMI (Tunisie)
Né à Kairouan en 1951, Habib Selmi est agrégé d’arabe et travaille à Paris depuis 1983. Il a publié sept romans et deux recueils de nouvelles qui l’ont placé parmi les meilleurs écrivains tunisiens de langue arabe. On lui doit notamment Le Mont-des-Chèvres (1999), Les Amoureux de Bayya (2003) et Les Humeurs de Marie-Claire (2011). En 2012, il a été finaliste dans la liste des lauréats de l’Arab Booker Prize. |
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LOUIS-PHILIPPE DALEMBERT (Haiti)
Louis-Philippe Dalembert est né à Port-au-Prince, en 1962. Romancier, nouvelliste, poète et essayiste, cet ancien pensionnaire de la Villa Médicis a publié notamment Le crayon du bon Dieu n’a pas de gomme, L’Autre Face de la mer (Prix RFO) et Rue du Faubourg Saint-Denis. |
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Auteurs algériens
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AZIZ CHOUAKI
Aziz Chouaki est un écrivain algérien francophone. Dramaturge, romancier et musicien, il se fera connaître par Les Oranges, texte monté de très nombreuses fois à ce jour. Dans ses romans, (Baya, l’Etoile d’Alger, Aigle, Arobase) de même que dans ses pièces, (El Maestro, l’Arrêt de Bus, Une Virée, etc) Aziz Chouaki se distingue par son point de vue sur l’état du monde, à la fois très cynique sur le fond, il cisèle la forme, travaillant le vivant, traquant l’humour au cœur même du drame. |
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MAÏSSA BEY
Née en 1950, Maïssa Bey est l’auteure d’une oeuvre importante. Elle a obtenu le prix des Libraires algériens en 2005 pour l’ensemble de son oeuvre. Elle a publié, entre autres, Surtout ne te retourne pas (2005), Bleu Blanc Vert (2006) et Pierre, Sang, Papier ou Cendre (2008), édités conjointement par les éditions de l’Aube et Barzakh. |
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KAMEL DAOUD
Né en 1970 à Mostaganem, Kamel Daoud est journaliste au Quotidien d’Oran. Il y tient la chronique " Raïna Raïkoum ", réputée pour son franc-parler et la clarté de ses analyses. Il a publié en Algérie des recueils de nouvelles et de chroniques et travaille actuellement à un roman. |
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NOURREDINE SAADI
Nourredine Saadi est né et a grandi à Constantine. Universitaire et écrivain, il est l'auteur de plusieurs romans, de nombreux textes et articles. Il est une figure reconnue du monde culturel algérien et collabore à plusieurs revues. Il est l'auteur notamment de deux romans parus chez Albin Michel, Dieu-le-Fit (Prix Kateb Yacine) et La Maison de lumière, ainsi que de nombreuses nouvelles ou encore d'essais sur les peintres Koraïchi et Denis Martinez. |
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MOURAD DJEBEL
Né en Algérie en 1967, Mourad Djebel est l'auteur de deux romans remarqués, Les Sens Interdits (La Différence, 2001) et Les Cinq et Une Nuits de Shahrazède (La Différence, 2005), et d'un recueil de poésie Les Paludiques (La Différence, 2006). En 2007 et 2008, il a participé à l'aventure éditoriale et militante qui a donné lieu à la publication de l'ouvrage collectif Il me sera difficile de venir te voir. |
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ABDELKADER DJEMAÏ
Abdelkader Djemaï est né en 1948 à Oran, et vit en France depuis 1993. Son œuvre est prolifique et son talent reconnu par la critique, notamment avec Camping (Seuil, 2002) pour lequel il a reçu le prix Amerigo-Vespucci. On lui doit également Nez sur la vitre (2004), Gare du Nord (2009), Zorah sur la terrasse (2010), et La Dernière nuit de l'Emir(2011), tous parus aux Editions du Seuil. |
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SUZANNE EL KENZ
Suzanne El Farrah El Kenz vit à Nantes où elle est professeur de langue arabe dans un lycée. Née en 1958 à Ghaza, dix ans après la Nakba, elle a vécu dans plusieurs pays : l’Égypte, l’Arabie saoudite, l’Algérie, la Tunisie et la France. Elle est de nationalité algérienne. Le Grand Prix Yambo-Ouologuem lui a été décerné en février 2010 pour son roman La Maison du Néguev, paru en 2009 chez les éditions Apic. En janvier 2013, elle publie Ma mère, l’escargot et moi aux éditions de l’Aube. |
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SALIM BACHI
Salim Bachi est né à Alger en 1971. En 1997 il part en France pour faire des études de lettres à la Sorbonne. Pensionnaire à l’Académie de France à Rome en 2005, il vit et travaille désormais à Paris. Son roman, Le chien d’Ulysse, a obtenu la Bourse Goncourt du premier roman en 2001 et La Kahéna, le prix Tropiques en 2004. Il a en outre publié Tuez-les tous en 2006, Le silence de Mahomet en 2008, Amours et aventures de Sindbad le Marin en 2010, aux éditions Gallimard. Son dernier roman, Moi, Khaled Kelkal a été publié chez Grasset en 2012. |
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YAHIA BELASKRI
Yahia Belaskri est né à Oran. Après des études de sociologie, il se tourne vers le journalisme. Il s’installe en France en 1989.
À travers de nombreux articles, des essais, des romans et des nouvelles, il pose un regard critique sur l’histoire de ¬l’Algérie, de la France et des rapports si conflictuels entre ces deux pays. Il est l'auteur de L'islamisme et l'Europe sociale, in Extrémismes en Europe paru aux éditions de l'Aube et a aussi participé à des ouvrages collectifs, Algérie 1992- 2002 : l'épreuve d'une décennie (éditions Paris Méditerranée, 2004) et Algéries 50 (éditions Magellan, 2012). |
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WACINY LAAREDJ
Né en 1954 à Tlemcen, Waciny Laredj a été professeur à l'université d'Alger jusqu'en 1994. Il vit aujourd'hui à Paris et enseigne la littérature à la Sorbonne. Il est l'auteur d'une dizaine de romans, dont plusieurs ont été traduits par les éditions Sindbad/Actes Sud : Fleurs d'amandiers (2001), Les Balcons de la mer du Nord (2003), Le Livre de l'Emir (2006), Les Ailes de la reine (2009) et Les Fantômes de Jérusalem (2012). Il a obtenu le prix du Roman algérien en 2002 et le prix des Librairies d’Algérie en 2006. |
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ZINEB LAOUEDJ
Née en 1954 à Maghnia (Tlemcen), elle fait partie de la génération soixante-dix qui s'est imposée par une nouvelle poésie, engagée et libre. En 1990, elle obtient un doctorat d'Etat sur La poésie maghrébine des années soixante-dix. Enseignante à la faculté centrale d'Alger et à Paris VIII, elle vit depuis 1994 entre Paris et Alger. |
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MALIKA MOKKEDEM
Malika Mokkedem est née en 1949 à Kenadsa. Médecin de formation, elle fait ses études à Oran, puis à Paris. Elle s'installe à Montpellier en 1979. Malika Mokeddem arrête l'exercice de sa profession en 1985 pour se consacrer à la littérature. Elle obtient le Prix Littré 1991 pour Les hommes qui marchent (Editions Ramsey), le prix Afrique-Méditerranée en 1992 pour son second roman Le Siècle des sauterelles et le prix Méditerranée-Perpignan pour L'Interdite, en 1994. Elle a également publié Des rêves et des assassins (Grasset, 1995), La nuit de la lézarde (Grasset 1998) et La Désirante en 2011, toujours chez le même éditeur. |
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ANOUAR BENMALEK
Anouar Benmalek est né en 1956 à Casablanca. Mathématicien de formation, il est un écrivain de talent et de renommée internationale. Dans son discours, il revendique, entre autres, son universalité, son droit à la différence et à la diversité. Son ouverture vers le monde donne à sa plume une légèreté mais également une profondeur et une force qui ne vous laissent pas indifférent. Il a publié de nombreux romans dont Ô Maria en 2006, Le Rapt en 2009 ou encore Tu ne mourras plus demain, un vibrant hommage à sa mère, en 2011. |
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ADLENE MEDDI
Adlène Meddi est né en 1975 à Alger. Il a fait des études de journalisme à Alger et à l’EHESS de Marseille.
Il a travaillé comme reporter au quotidien «El Watan ». Il est actuellement co-rédacteur en chef d’ «El Watan Wee-kend». En 2002, il a publié aux éditions Barzakh un polar, Le casse-tête turc, suivi de La prière du Maure en 2008. |
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AMINE ZAOUI
Né en 1956, Amine Zaoui a été enseignant de littérature puis a dirigé le Palais des arts et de la Culture d’Oran. De 2003 à 2008 il a été directeur général de la bibliothèque nationale d’Algérie.
Écrivain bilingue, Amin Zaoui est l’auteur de nombreux romans traduits dans une dizaine de langues dont Sommeil du mimosa (Le Serpent à plumes, 1998), Festin de mensonges (barzakh, 2007), La Chambre de la vierge impure ( Fayard 2009) ou encore Le dernier juif de Tamentit (Barzakh 2012). |
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INAM BIOUD
Inam Bioud est actuellement directeur générale de l’Institut supérieur arabe de traduction d’Alger. Elle est traductrice, poète et artiste peintre. Elle a publié un recueil de poèmes Poste restante en 2003 et un roman pour lequel elle a obtenu le prix littéraire « Malek Haddad » en 2003, Les Poissons s’en fichent. Elle a par ailleurs réalisé, entre 1975 et 2004, de nombreuses expositions de peinture. |
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RABIA DJELTI
Rabia Djelti est poétesse, romancière, universitaire et traductrice. Détentrice d’un doctorat d’Etat en littérature, elle est maître de conférences à l'université d'Alger, faculté des lettres. Elle a publié de nombreux recueils de poèmes dont Murmures du secret et Pierre perplexe aux éditions Dar Annahda, Liban, en 2009. Elle a par ailleurs publié trois romans : Adhourwa (Extase), Nadi Assanawbar (Club des Pins) et Archoune Mouachchak (Baldaquin éblouissant). Elle a reçu le prix de la création littéraire arabe pour l’ensemble de son œuvre, à Abu-Dhabi en 2002. |
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MUSTAPHA BENFODIL
Mustapha Benfodil est né en 1968 à Relizane. Il est écrivain, poète, dramaturge et journaliste. Après avoir fait des études en mathématiques, il se consacre à l'écriture. Sa carrière littéraire commence avec la poésie. En 1992, il entame son premier recueil intitulé Cocktail Kafkaïne qu'il achève en 2006. Il a publié ses deux romans, Les bavardages du Seul, en 2003 et Archéologie du chaos (amoureux) en 2007 chez les éditions barzakh. |
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HADJER KOUIDRI
Hadjer Kouidri est journaliste et enseignante à l’Ecole supérieure du journalisme. Originaire de Médéa, elle se découvre très tôt une vocation irréfragable pour l’écriture romanesque en langue arabe. Son roman Nawres Bacha a été couronné en 2012 du deuxième prix Tayeb-Salih, du nom de l’écrivain soudanais qui s’est éteint en 2009, considéré comme l’un des plus grands écrivains arabes aux côtés de Taha Hussein et Naguib Mahfouz. |
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BADR'EDDINE MILI
Journaliste, militant politique et syndical, issu de la promotion de l'indépendance des sciences politiques de l'Université d'Alger, Badr'Eddine Mili est né à Constantine. Il a été entre autres directeur de l'audiovisuel au ministère de la Culture, chargé de mission à la présidence de la République et directeur général d'Algérie Presse Service (APS). Il entre dans le monde littéraire en publiant successivement La Brèche et le Rempart en 2009 et Les Miroirs aux Alouettes en 2011, aux éditions Chihab. Il œuvre, en ce moment, à l’écriture du dernier roman de la trilogie, intitulé Les passions maudites. |
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MOHAMED MAGANI
Mohamed Magani est né en 1948 à El Attaf, petit village situé à Aïn Defla. Après des études à l’université d’Alger et à l’université de Londres, il a enseigné de 1985 à 1995 au Centre national pour la formation des enseignants et à l’université d’Alger. De 1995 à 1999, il est "writer in residence" à Berlin. A cette époque, il est invité aux Journées littéraires de Mon-Dorf (Luxembourg, 1997). Il est l’auteur de nombreux romans dont La Faille du ciel, en 1983, Esthétique de boucher en 1990, Un Temps berlinois en 2001 ou encore Le Refuge des ruines en 2002. |
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SARAH HAÏDER
Sarah Haïder, 25 ans, est journaliste et écrivaine. Elle a publié trois romans en langue arabe dont le premier, Zanadeka ou Apostats, a reçu le prix Apulée, en 2005, décerné par la Bibliothèque nationale d'Algérie. Son dernier roman, le premier en français, est Virgules en trombes, publié en 2013 aux éditions Apic. |
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MOHAMED MAGANI
Mohamed Magani est né en 1948 à El Attaf, petit village situé à Aïn Defla. Après des études à l’université d’Alger et à l’université de Londres, il a enseigné de 1985 à 1995 au Centre national pour la formation des enseignants et à l’université d’Alger. De 1995 à 1999, il est "writer in residence" à Berlin. A cette époque, il est invité aux Journées littéraires de Mon-Dorf (Luxembourg, 1997). Il est l’auteur de nombreux romans dont La Faille du ciel, en 1983, Esthétique de boucher en 1990, Un Temps berlinois en 2001 ou encore Le Refuge des ruines en 2002. |
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RACHID MOKHTARI
Critique littéraire, essayiste et romancier, Rachid Mokhtari vit et travaille à Alger. Auteur d’un travail essentiel sur la littérature algérienne (La Graphie de l’Horreur ; Le nouveau du souffle du roman algérien ; Tahah Djaout, un écrivain pérenne), il a publié aussi plusieurs ouvrages consacrés à la chanson kabyle et à ses icônes dont Cheikh El Hasnaoui, Slimane Azem, Zerrouki Allaoua et Matoub Lounes. Romancier, il clôt cette année sa trilogie des origines (Elégie du froid, l’Amante, Mauvais Sang). Il est aujourd’hui animateur et producteur d’une émission littéraire à la radio nationale. |
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SALAH GUEMRICHE
Né en 1946 à Guelma, Salah Guermiche est l’auteur de plusieurs romans, L’Homme de la première phase (Rivages, 2000), Un été sans juillet (Cherche-midi, 2004) et du retentissant dictionnaire des mots français d’origine arabe (et turque et persane). Il a reçu le prix Mouloud-Mammeri pour son roman historique Un amour de djihad (Balland, 1995). Son dernier roman est consacré à la capitale algérienne ; il s’intitule Alger la Blanche, biographie d’une ville (Perrin, 2012). |
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HABIB TENGOUR
Habib Tengour est né en 1947 à Mostaganem. Poète, écrivain et anthropologue, il a constamment vécu entre la France et l’Algérie. Il a publié des textes en prose, Le Vieux de la montagne (Sindbad, 1983), L’Epreuve de l’arc (Sindbad, 1990), Gens de Mosta (Sindbad, 1997, prix Adelf) et Le Poisson de Moïse (2001), ainsi que des textes poétiques, parmi lesquels L’Arc et la Cicatrice (1983), Ce Tatar-là (1999). La Différence a publié deux de ses recueils de poésie, Gravité de l’ange (Clepsydre, 2004), L’Arc et la cicatrice (Clepsydre, 2006) et ses romans Le Maître de l’heure (coll. Littérature, 2008) et Le Vieux de la montagne (Minos, 2008). |
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